AVE Canada refusé

AVE Canada refusé, que faire ?

La première étape pour préparer un séjour au Canada consiste à demander une autorisation de voyage électronique ou AVE. Les citoyens américains et les étrangers en possession d’un visa canadien valide sont exemptés de cette formalité. Dans la plupart des cas, elle est validée sous quelques jours et s’accompagne d’une validité de 5 ans. Son expiration peut également correspondre à celle du passeport si la date limite d’utilisation précède les 5 ans mentionnés.

 

Toutefois, il est possible que se retrouver avec un AVE refusé. Que faire dans une telle situation ?

 

Avant de déposer votre demande, assurez-vous de prendre connaissance de la LIPR (Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés). Le non-respect des dispositifs stipulés dans cette loi risquent d’engendrer le refus de votre AVE Canada.

Enfin, il faut savoir qu’un lien de parenté avec un individu interdit de territoire est un motif valable de refus.

 

Quelles sont les alternatives pour obtenir la validation de mon AVE ?

Il n’est pas possible de faire appel pour un formulaire AVE refusé. La meilleure solution est de faire une nouvelle demande en vous assurant que votre situation ait changé : état de santé, finances, etc.

Dans l’éventualité où le refus serait motivé par des antécédents criminels, il est envisageable de surmonter les condamnations pénales. Ci-après les alternatives possible :

  • Vous présenter à l’agent d’immigration et lui prouver que vous pouvez être considéré comme “présumé adapté”. Attention, seuls les crimes dont la peine maximale ne dépasse pas 10 ans sur le sol canadien sont pris en compte.
  • Vous munir d’une demande de réadaptation approuvée par le ministre ou son délégué. Cette option n’est valable que si vous avez purgé votre peine il y a au moins 5 ans et que 5 ans se soient passés depuis l’acte commis.
  • Si vous bénéficiez d’une suspension de casier judiciaire, vous pouvez relancer la procédure pour obtenir l’Esta Canada.
  • Enfin, si vous disposez d’un permis de séjour temporaire, sachez que tout n’est pas perdu.